An un

Durant la Seconde Guerre mondiale, les Italiens sont victimes des bombardements alliés.  23 mars 1944,  dans Rome, un attentat contre les Allemands contraint une journaliste à acheter une babiole chez un commerçant. Deux hommes rasant les murs se rendent chez Alcide De Gasperi,  Bonomi va démissionner du poste de président du comité national de libération, il est contre son extrémisme de parlementaire qui lui fait refuser le compromis alors que ses invités communistes recherche la médiation; vingt ans dans la clandestinité chasser allemands et fascistes retrouver la liberté démocratique. Un pacte d'unité d'action.

explosion Via Tasso, le siège des fascistes anniversaire de la fondation près de la piazza barberini, Carlo déserteur.

25 millions d'italiens pourront voter dont les femmes et non 7 comme en 1924 de la Malfa et de Nenni, séparés nous ne sommes que des factions, se présenter unis aux alliés.

Les américains bloqués à Anzio, abbaye de Montecassino détruite; 32 allemands tués dans l'attentat, les communiste de Badoglio; pour chaque allemand tué , dix communistes fusillés le massacre des Fosses ardéatines.

Gasperi ravitaillé, un article pour el popolo pour Gonella un autre pour Peppino Spataro en fait pour Bonomi à saint jean de Latran, Lia Licina et Paola, Chez Maria Romana un prêtre; raconte son adolescence, député du Trentin en 1915 et le silence, impatient de dialoguer, il se veut chrétien et laïque.

Va voir Bonomi à saint jean de Latran pour le convaincre de ne pas démissionner même si les communistes, la gauche se fait impérialiste dans sa volonté de pouvoir. Il faut être unis.

imprimerie del popolo, démontée la nuit envoyé le journal au nord pour copies diffusées dans toute l’Italie, invente le terme démocratie chrétienne pour remplacer parti populaire

dans la rue Giorgio Togliatti, aux côtés de Badoglio. Réunion Gasperi tous autour de Badoglio; OK pour gouvernement du sud avec Togliatti, libéral socialistes et actionnistes; élire une assemblée constituante

combats et fuite des allemands; les allemands quitte Rome et de Gasperi sa mansarde

Même les communistes se décident à entrer dans la libération de Rome on est après le 27 mai. Indécision, on fait une maigre cuisine, on joue au cartes, on éteint et rallume la lumière et c'est le soulagement ; les américains sont dans la rue

Fraternisation avec les libérateurs. Le maréchal Badoglio, représentant du gouvernement de l'Italie libre, vient demander leur collaboration au Comité de libération nationale. Mais celui-ci refuse les anciennes institutions. Seules les comités de libération peuvent porter la fonction constitutionnelle pour libérer l'Italie du fascisme. Les partis antifascistes veulent participer à un gouvernement qui soit présidé par un homme de tradition democratique. Tous les partis se sont mis d'accord pour que ce soit Ivanoe Bonomi. Il devra transmettre ce message à Humbert II de Savoie

De Gasperi appelle à reconstruire l'Italie en mettant de côté les différences entre parti et appeler à une nouvelle constitution. Se range de l'avis de Togliatti mais république sociale, socialiste, communiste ou démocratique. trouve le communisme, en perpétuelle évolution, toujours trop coercitif et répressif. Soit haut sens moral soit forte coercition. Le totalitarisme d’État est l'ennemi de la liberté. L'homme vient d'abord et l'état après. Jésus Christ est un prolétaire, comme Marx.

Les combats continuent et le Nord est enfin libéré. Les journaux parlent du corps de Mussolini exposé avec d'autres fascistes des horreurs des camps de Dachau, Buchenwald et Auschwitz. Les socialistes de Milan veulent un combattant du Nord : Pietro Nenni, soutenu par les communistes . De Gasperi refuse car pacte socialo communiste appelant à accueillir Tito comme libérateur, ce qui déplairait aux Américains. La démocratie chrétienne propose de Gasperi.

On discute sur les marchés, dans les cafés, bombe atomique, nouvelle ère ou pas ?

Face à la presse. Le parti libéral est sorti du gouvernement, ce qui est attribué au président du conseil qui en veut aussi à de Gasperi qui veut l'unité à tout prix ou rien. De Gasperi, ministre des affaires étrangère intervient : reprochant au président du conseil de forcer le trait d'exagérer la menace du coup d’état. Toujours l'unité avec que des élections qui définissent majorité et minorité :12 millions pour la république, 10 millions pour la monarchie

Les monarchistes accusent la tricherie et le roi reste en poste. Togliatti et Nenni proposent que De Gasperi, le président du conseil assume le rôle de chef de l’état; celui-ci refuse demandant une nouvelle consultation auprès du roi, certain que le peuple est pour la république, il ne veut pas d'un traumatisme inutile. Mais le roi refuse de céder.

De Gasperi et son ministère de l'intérieur se félicitent de la conférence de Paris et des accords économiques avec les États unis. Ils craignent que l'unité se défasse avec les communistes. ont peur des armes encore cachées, d'un retour du fascisme.

Le journalistes font état des dissensions avec les communiste après l'alignement de De Gasperi sur la politique américaine

De Gasperi dissout et appelle à de nouvelles élections : c'est le front populaire socialo-communiste contre le capitalisme. Garibaldi (son portrait à l'envers évoque celui de Staline) 55% des sièges à l'assemblée et 54% au sénat pour la DC. Il veut maintenir la coalition du 18 avril, parti socialiste, parti libéral et parti républicain. pas la victoire de la réaction mais celle de la démocratie. Ne veut pas de catholiques bloqués dans le passé et se veut proche de travailleurs il est pour un rapprochement avec les USA démocratique et une intégration à l'Europe.

Attentat contre Togliatti, appel à la grève, DC=fascisme

De Gasperi à Matera, vient promouvoir sa Caisse du midi et sa réforme agraire pour plus de justice, notamment dans le Sud. Toujours pour la justice sociale mais contre le totalitarisme d’État. C'est la conscience morale qui détermine les rapports sociaux. Scepticisme de habitants

Chez lui se plaint que les catholiques réactionnaire le trouve faible par rapport aux communistes

ministre Scelba, sénateur Sturzo a raison parti libéral, partie monarchiste et le mouvement socialiste italien ne se sont pas mis d'accord avec la DC

va voir sa fille qui est religieuse pour se réconforter avec les paroles de la bible, Abraham, Moïse qui se sont sacrifiés pour leur peuple

De Gasperi vaincu de 57 000 votes seulement

il n'est plus président du conseil veut combattre pour des idées mais pas des hommes qui montent des factions qui les dévorent; aime la jeune garde du parti socialiste. Veut se retirer de la politique après le Congrès

préparation de la conférence de Naples, Gasperi secrétaire sortant; veut bien de Nenni au gouvernement s'il déclare que son socialisme est démocratique, adhésion église sincère mais le DC n'est pas l'église, elle a un programme, des méthodes et une responsabilité et l'union fait la force, une force pour agir pour reconstruire autrement esclave de la situation parlementaire

Biographie de Toniolo. Il va à Valsugana

Fanfani nouveau secrétaire qu'il enjoint de croire en l'unité européenne. Il part sachant qu'il a été utile alors qu'il aurait aimé mener la bataille jusqu'au bout