1990 | À la renverse |
12 minutes Adaptation pour l'image du spectacle "À la renverse" de Mathilde Monnier, composée selon le rythme originel de la pièce qui va crescendo. Le film débute par la déambulation goguenarde d'un employé dans une bibliothèque fictive dont le sol est devenu plafond. Bientôt, une population affolée court en tous sens entre les rayonnages. |
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1994 | Jean-Paul Montanari |
53 minutes De l'Algérie natale à la jeunesse lyonnaise : l'exploration de la vie artistique qui a conduit Jean-Paul Montanari à créer le festival Montpellier-Danse en 1980 s'origine dans ce déplacement géographique qui a marqué son enfance. Dans ce film, il évalue et analyse son cheminement artistique, de ses premières amours, la littérature et le théâtre, à sa rencontre avec la danse. |
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1994 | Viola Farber |
40 minutes Interrogée par Geneviève Vincent et Mathilde Monnier qui fut son élève (quand elle succéda à Alwin Nikolaïs à la direction du CNDC d'Angers de 1981 à 1983) et dansa, par la suite, dans plusieurs de ses spectacles, la danseuse et chorégraphe américaine Viola Farber évoque longuement ce que fut son enseignement de la danse et sa façon de le transmettre aujourd'hui |
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1995 | Karine Saporta |
53 minutes "La réalité me déplaît, alors, sur scène, je recrée un monde", revendique Karine Saporta, chorégraphe et directrice du centre chorégraphique national de Caen. Avant la danse, elle a étudié la sociologie et la philosophie. Et depuis toujours, elle s'implique dans la photographie et le cinéma. Dans cet entretien, elle nous décrit ses différentes façons de recomposer le monde |
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1998 | Chinoiseries |
34 minutes Créé il y a sept ans, le duo entre la chorégraphe Mathilde Monnier et le clarinettiste Louis Sclavis a ceci de particulier que son écriture évolue sans cesse. Ce n'est donc pas une pièce de répertoire, revendiquent-ils tous deux en insistant sur la règle du jeu : partager des rapports d'intensité en privilégiant les renvois, la variété des énergies. "On l'a abordé sans psychologie, c'est un travail sur le travail", disent-ils tous deux. Une danse extrêmement élaborée, "impossible à interpréter totalement sans erreur tant elle fonctionne sur des oppositions entre tension et relâchement, directions et énergies. J'essaye que chaque mouvement ait plusieurs sens : au dialogue avec Louis Sclavis se superpose un dialogue interne à ma danse où toutes les couches d'un mouvement, sa fragmentation, sont données à voir. Finalement, cette pièce suit mon travail : elle est témoin d'un état d'être, d'un état de recherche", constate Mathilde Monnier. Louis Sclavis ne la contredit pas. Fabienne Arvers. |
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2008 | Bruit blanc |
- 50 minutes Blanc comme l'oubli des couleurs, ce blanc que Mathilde Monnier avait déjà planté en lisière du regard dans "L'Atelier en pièces", spectacle magistral créé en direction de personnes autistes. Valérie Urréa s'attache ici à suivre la relation engagée entre la chorégraphe et Marie-France, jeune autiste de 26 ans. Il y a les moments d'un spectacle donné par elles deux et Louis Sclavis pour la musique, et le travail dans le cadre des ateliers de mouvement menés depuis quatre ans en collaboration avec l'association "Les Murs d'Aurelle" à l'hôpital de La Colombière. La relation entre Mathilde et Marie-France transite essentiellement par le corps : "C'est au-delà de la parole, mais dans un langage propre." Propre à révéler "les capacités physiques étonnantes de Marie-France, extraordinaires, lui permettant d'adopter des positions que même un danseur ne peut refaire." Une découverte fascinante pour cette danseuse dont le corps recèle nombre de chemins oubliés. Fabienne Arvers. |
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2001 | Hors les murs |
57 minutes Documentaire autour de six mois de répétitions d'une comédie musicale hip hop pour le cinéma réunissant les meilleurs danseurs chorégraphes et musiciens du moment. Tourné dans différents lieux de répétitions et de décors, ce film dévoile le long processus de création musicale et chorégraphique. |
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2004 |
L'Homme qui danse |
Coréalisé avec Rosita Boisseau 59 minutes Dans une société qui se féminise, les hommes qui dansent “jouent leur peau d’homme” à chaque fois qu’ils montent sur un plateau. Hasard ou nécessité : de plus en plus, ils se retrouvent et créent entre eux. Le film interroge ces hommes : qu’est-ce qui fait un homme ? Qu’est-ce qui fait un danseur ? Qu’ont-ils à dire, à montrer ? Que cherchent-ils ? Qu’est-ce que leur attitude nous dit de leur rapport au monde d’aujourd’hui ? Par leur voix et leur travail, Angelin Preljocaj, Christian Bourigault, Dimitri Chamblas, Mark Tompkins, Josef Nadj, Alain Buffard, Félix Ruckert, Kader Belarbi, François Verret et Philippe Decouflé esquissent une cartographie de la danse “côté hommes”. |
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2008 | Vallée |
Après avoir vu Déroutes, une création de la chorégraphe Mathilde Monnier, Katerine a souhaité mettre un peu de danse aussi, là, au milieu des choses qu'il fait. Et la chorégraphe l'a bien compris, de ces états d'êtres lunaires aux échappées de textes, aux mots et aux gestes. Auprès de cinq danseurs, avec un titre culte, Louxor j'adore, étiré à l'extrême dans le temps, en creusant les mots, le rythme, les sons, les gestes, les bruits, la voix, c'est le spectacle 2008 Vallée. Le tout travaillé d'après les chansons de l'album Robots après tout. | |
2012 | Manta |
2012 | |
2012 | |
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Valérie Urréa
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née en 1968
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10 films | ||