Philippe Van de Walle
5 films
   
   
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Filmographie :

1991 La fonderie Legoupil
 

0h30

1857 : un certain Jean-Marie Bois décide de créer une fonderie de cuivre et de fer dans l’agglomération granvillaise. 1991 : tournant majeur pour l’entreprise qui, de front, change de localisation, adopte un procédé de fusion innovant et s’équipe d’une ligne de moulage en grande partie automatisée. Ce film met en valeur l’aspect patrimonial de l’entreprise avant sa modernisation et aborde la question des mutations technologiques sous ses différents aspects.

   
1994 SMN Les Hauts Fourneaux
 

1h20

En novembre 1993, une dernière coulée marquait la fermeture du site sidérurgique de la SMN (Société Métallurgique de Normandie) situé près de Caen. 100 000 personnes au total y auront travaillé pendant ses 80 années d’existence.
Ce film réunit les points de vue de différents témoins et acteurs autour du thème de l’évolution des rapports sociaux et des systèmes de référence au sein de l’entreprise : paternalisme, culture d’entreprise. Mêlant images d’archives et vues de l’usine en exploitation, il rend également compte des caractéristiques techniques, économiques et paysagères d’un établissement qui aura été au cœur de l’histoire industrielle de la Basse-Normandie.

   
2001 Les lumières du Celland
 

0h26 minutes

Le monde des tournois de fléchettes. Une petite tragédie où le jeu devient un enjeu vital... pour s'amuser. Avec un respect des trois unités de temps, de lieu et d'action.

   
2003 Les dernis ?
 

coréalisé avec Jean-Michel Gambillon. 0h52

Ils vivent dans le Cotentin ou sur les îles anglo-normandes. Ils sont paysans, maraîchers, pêcheurs, ostréiculteurs, maquignons, commercants, médecins... Ils parlent le Jersisiais, le Guernesiais dans les îlesanglo-normandes et du Cotentin, ou le patois sur le continent. Nous allons à leur rencontre entre terre et mer, là où ces parlers locaux encore vivaces sont menacés de disparition...

   
2010 Chroniques industrielles
 

0h59

Dix-huit ans après la fermeture des Mines de Soumont et quinze après celle de la Société Métallurgique de Normandie, le film part à la recherche des traces de cette histoire industrielle, à l’écoute des acteurs passés et présents, pour montrer comment la mémoire industrielle évolue et perdure, comment le milieu industriel se délite ou se transforme. Comment évolue la mémoire et comment s’extériorise t–elle ? Que cherche-t-on à transmettre ? A qui et pourquoi ? En quoi ce passé structure–t-il encore notre société ? Et si notre société en a fait le deuil, qu’en est-il de l’organisation sociale qui était induite ? Quels sont les liens de sociabilité qui persistent ?

   
   
   
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