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         The 
          ecstasy girls (Robert McCallum, 1979). Suppléments : 
        
          -  Ladies do it : entretiens avec les vedettes féminines Serena, Sharon 
            Mitchell, Sharon Kane… (26 min)
 
         
        À la veille de la mort d'Edgar Church, milliardaire 
          très puritain, son frère décide de lui révéler à quel point ses quatre 
          jeunes nièces, censées hériter de sa fortune, ont les moeurs légères. 
          Il loue les services d'un acteur au chômage, Jerry Stoner, qui devra 
          en rapporter la preuve filmée, épaulé par deux comparses techniciens. 
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          Un scénario 
          inventif, digne des grandes comédies américaines traditionnelles, et 
          un casting quatre étoiles qui réunit les plus grandes stars du genre 
          : THE ECSTASY GIRLS est une date dans le porno chic US. Réalisée par 
          un Robert McCallum qui se prend pour Blake Edwards, cette satire échevelée 
          regorge de situations cocasses et volcaniques, notamment une joute SM 
          entre Jamie Gillis et Serena, un couple excessif à la ville comme à 
          l'écran.  
          
        Desires 
          within young girls (Ramsay Karson, 1977). Suppléments : 
        
          -  Its' a man's world? : entretiens avec les stars masculines du X 
            US Eric Edwards, Jamie Gillis, Randy West (26 min)
 
         
        Suite au décès brutal de son second mari lors d'une 
          étreinte torride, Madeline Stowe décide, pour assurer ses vieux jours, 
          de parfaire l'éducation sexuelle de ses deux filles et de les soumettre 
          aux caprices des hommes les plus riches de la région. 
        
         Produite 
          par Harold Lime, l'un des magnats les plus extravagants du X, cette 
          satire au vitriol d'un certain "american way of life", est inspirée 
          du classique Comment épouser un Millionnaire ? avec Marilyn Monroe et 
          Betty Grable. Mise en scène élégante, dialogues mordants, actrices très 
          complices dont Georgina Spelvin (l'héroïne de Devil in Miss Jones) et 
          Annette Haven : c'est la classe américaine ! 
          
        
          
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